16 décembre 2025
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Dermatose nodulaire : toute la vérité par Jean-Marc Sabatier !

Nous avons extraits les interventions de Jean-Marc Sabatier afin de compiler des informations essentielles et avons réaliser une transcription ci-dessous. Les éléments qui nous paraissent essentiels sont mis en gras et/ou en rouge.

 

Jean-Marc Sabatier est docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie. HDR en Biochimie. Directeur de Recherche au CNRS.

10min12 : La dermatose nodulaire est provoquée par un virus à ADN, qui induisent une pathologie non sévère, très peu mortelle, les animaux récupèrent d’eux-mêmes en quelques semaines, aucune nécessité de les abattre et aucune transmission à l’homme. Elle se soigne très bien à l’Ivermectine et aux anti-inflammatoire non stéroïdiens. Les lésions cutanées peuvent être traitées avec de l’iode diluée . Quand c’est sévère on peut utiliser les antibiotiques pour éviter une surinfection bactérienne : pénicilline ou macrolides et une supplémentation en vitamines et oligo-éléments : sélénium, zinc et cuivre. Rien ne justifie l’battage. Voir article juillet 2025 

« Rien ne justifie l’abattage d’animaux pour des pathologies qui, de surcroît, ne sont pas transmissibles à l’homme. »

1h12 : tout ceci est une folie. Il faut comprendre avec le rapport de la cour des comptes 2023 qu’il s’agit d’une réduction du cheptel français pour des raisons soi-disant d’empreinte carbone. C’est un prétexte. Ces vaccins à ARNm qui arrivent, c’est la suite de l’histoire Covid, ça devient très clair, ils favorisent les ARNm les plus délétères, les ARN auto-amplifiants sont des bombes à retardement. C'est clairement fait pour abattre les animaux. Cela n’a rien de sanitaire, c’est évident. 

1h52 : une antenne 5G a été installée proche de l’élevage en Ariège en août 2025 à 1 km. Cela peut affecter les animaux, cela a été largement décrit. Les ondes electromagnétiques affectent le fonctionnement cellulaire. Elles ont un effet délétère jusqu’à 5 km.

1h56 : les vaccins à ARNm ne sont pas du tout des vaccins, ce sont des thérapies géniques qui ne devraient pas être utilisées comme vaccin. Le gros problème soulevé dès les début par Alexandra Henrion-Caude est la rétrotranscription, c’est à dire la copie de l’information de l’ARNm en ADN et son intégration dans les chromosomes humains. Les données à l’heure actuelles montrent que c’est tout à fait possible. C’est même plus que possible puisque l’on détecte la présence de l’information génétique de la protéine spike dans les chromosomes humains, notamment le chromosome 19. Clairement il faudrait au minimum un moratoire sur les ARNm mais en fait il faudrait surtout les supprimer parce que le moratoire permettrait juste de mettre en évidence que c’est inutilisable chez l’humain puisque cette rétrotranscription, cette intégration génomique, on la voit. Cela a été démontré dans pas mal de groupes et un chercheur au Japon mais ce qui est plus inquiétant c’est qu’il voit également une intégration de l’information génétique du vaccin dans l’ADN mitochondriale. On sait que les mitochondries sont dysfonctionnelles et qu’il y a des répercussions énormes.

La dermatose nodulaire se soigne à l’Ivermectine comme la Covid. L’Ivermectine est un antiparasitaire mais qui est aussi actif sur les virus, justement car il agit comme un inhibiteur du système rénine angiotensine et on sait que ce système est complétement dérégulé notamment par les vaccins, y compris les vaccins à ARNm mais également inhibiteur de système alpha-bêta importine qui trie les molécules qui ont le droit de rentrer dans le noyau cellulaire et donc c’est valable pour n’importe quel microbe. Généralement, elle s’utilise à 0,2 mg par kilo, pour une vache qui fait entre 650 et 750 kg, il faut multiplier par les kilos et ce doit être couplé avec des anti-inflammatoires non stéroïdiens ; des vitamines importantes : vit A qui gère l’homéostasie du fer, la vit B3 qui va freiner l’emballement du système rénine angiotensine, la vit E qui a un potentiel antioxydant important et avec des oligo-éléments, du cuivre, du sélénium et du zinc.

2h02 : Les vaccins contre la DNC (Bovilis et Lympivax) ont pour effet secondaire d’induire des lésions, des nodules qui ressemblent à la DNC, cela veut dire que l’apparition de ces lésions ne sont pas obligatoirement une infection à la DNC surtout dans cette période où il y a moins d’insectes piqueurs (moustiques, taons, mouches piqueuses). La société Biosellal (https://biosellal.com/fr/actualites/23-dermatose-nodulaire-contagieuse-dnc--soyez-prts-grce--nos-kits) propose des kits qui permettent de distinguer l’infection au virus de la DNC et l’effet secondaire du vaccin qui est un virus inactivé.

2h55 : recommandations : isolement et prise de vitamines, Ivermectine, anti inflammatoires, … La DNC est une excuse pour réduire les cheptels.

4h05 : À partir du moment où on injecte avec cette technique militaro sanitaire, les générations suivantes seront-elles touchées ? Les données montrent qu’il y a une intégration des informations vaccinales des ARNm dans la génome humain et donc transmissible. Toutes les données montrent la retro transcription tout au moins des éléments génétiques qui proviennent des ARNm vaccinaux qui peuvent être intégrés dans les chromosomes humains.

Si deux personnes, un couple, si l’un des deux est injecté, peut-il y avoir contamination ? Oui le risque est avéré et des données vont dans ce sens (shedding), via les rapports sexuels, il y a des cas qui paraissent clairs de transmission possible. Les organes reproducteurs sont riches en éléments du système rénine angiotensine notamment le récepteur ECA2 qui est la cible de la protéine spike, soit du virus, soit du vaccin et on voit que les ARNm vaccinaux peuvent passer un peu partout, on les retrouve un peu partout.

4h20 : Il faut vraiment se méfier du narratif sur les vaccins, notamment pour les agriculteurs qui pensent vraiment que la vaccination totale des bêtes est la panacée. Il faut s’éloigner de ce narratif parce que l’on s’aperçoit que la stratégie vaccinale pose plus de problème qu’autre chose. En 1989 quand je suis rentré au CNRS, j’y croyais. Mais en travaillant dedans, on se rend compte qu’il y a des tas de problèmes avec les vaccins. Il y a énormément de données sur les effets délétères des vaccins mais elles sont cachées. Il faut se méfier du narratif des autorités et de la protection conférée par les vaccins parce que lorsque l’on regarde de près on s’aperçoit que souvent, c’est du vent. C’est particulièrement vrai avec les vaccins Covid, avec le vaccin de la grippe etc. C’est valable en médecine humaine et vétérinaire. Par exemple pour le vaccin de la grippe 2024-2025, les données scientifiques montrent qu’il a une efficacité négative de -28% et pourtant les gens se sont jetés sur les vaccins contre la grippe. Par ailleurs, quand on est vacciné et que l’on est infecté par le virus influenza, on excrète 6 fois plus de virus qu’une personne non vaccinée. Les approches vaccinales ne sont pas du tout salvatrices. Certains veulent vacciner tous les cheptels pour être tranquilles mais c’est de la folie. Dans la majorité des cas, les vaccins sont bien plus dangereux que la non vaccination.

 

Source :  https://www.youtube.com/live/vH-alJUyRp4?si=LDCcOt75VXMhwO_a

Articles :

https://infodujour.fr/economie/agriculture/81374-labattage-des-bovins-scientifiquement-injustifie

https://pgibertie.com/2025/08/08/scandale-de-la-dermatose-nodulaire-des-vaches-la-maladie-labattage-la-vaccination-letrange-dispersion-des-cadavres-danimaux-abattus-dans-dautres-regions/


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